Vous allez dire que je vous dis
ça à chaque fois, mais quand je m’éloigne des mots, je regrette toujours que ça
ait duré aussi longtemps. Le mois de janvier ayant été assez éprouvant, rythmé
par les commémorations, j’en ai perdu le temps de me poser pour vous écrire, et
je l’avoue aussi, parfois l’inspiration nécessaire à cet exercice.
Pendant ces semaines, j’ai néanmoins
vu un film qui m’a marqué de par sa beauté, sa poésie, sa majesté et sa
sincérité : le goût des merveilles (oui avec un accent circonflexe, vous
ne rêvez pas).
Dans ce film, le réalisateur
prend le temps de nous montrer la beauté d’un champ, d’un coucher de soleil,
mais aussi le plaisir simple de rire, de se retrouver, d’échanger.